Élias resta un long moment amenées à la tasse fumante, les yeux fixés sur les icônes que le marc de café formait délicatement. Il savait dès maintenant que rien dans ce centre n’était laissé au destin. Chaque changement, chaque détail semblait répondre à une sollicitation invisible, un sens subtile qui l’avait conduit jusqu’ici. Il prit une riche cartomancie, donnant son esprit absorber l’instant. L’air était chargé d’un silence dense, non pas vide, mais plein d’une présence diffuse qui l’enveloppait. La ouverture vacillante de la bille projetait des ombres mouvantes sur les murs tapissés de symboles anciens. Les livres posés sur les étagères dégageaient une odeur de cuir et d’encre séchée, témoins d’un savoir accumulé depuis des générations. Il savait, sans qu’on ait besoin de le lui présenter, que cet position appartenait à Lauriana Voyance. Il y retrouvait sa présence dans tout détail, dans chaque artefact avec attention disposé, dans l’harmonie même qui régnait ici. Il s’approcha mollement de la table et s’assit bouille à la tasse. Il n’avait plus principe que quelqu’un lui explique comment turlupiner. Ses doigt se posèrent d’elles-mêmes sur la céramique veule, et lorsqu’il inclina délicatement la tasse, les résidus laissés par le café commencèrent à se révéler. Cette fois, il n’y avait pas de soupçon, pas de sa place pour l’interprétation hasardeuse. Le envoi d'information était soigné, aussi limpide que le ciel nocturne qu’il contemplait au moyen Âge lorsqu’il était enfant. Les motifs tracèrent la formes d’un sentier serpentant via un panorama brumeux, allant à une porte monumentale. Une connaissance d’attente en sortait, par exemple si ce chemin n’avait subsisté que pour lui, comme par exemple s’il n’attendait que son passage. Il sentit son coeur s’accélérer. Tout ce qu’il avait cherché, tout ce qu’il avait tenté d'aprehender par le prisme de la vision des cartésiens et du rationalisme, se trouvait là, appelées à lui, imprimé dans cette matière insignifiante qu’il avait si de nombreuses années méprisée. Il se leva lentement, son regard glissant sur la parure avec une acuité indice. Il comprenait au plus vite que tout ce qu’il avait connu l’avait conduit jusqu’ici, que Lauriana Voyance n’était pas une ample terrine mythique, mais une vérité remarquable qui se manifestait de partout dans le expériences, très prête à accueillir celui qui osaient rallier. Il ne savait pas s’il était prêt à percer la porte qui l’attendait dans cette réprésentation, mais il savait qu’il n’avait plus d’autre arbitrages que d’essayer. Il sortit de la bâtisse en silence, le regard tourné poétique l’horizon. la piste qui se dessinait appelées à lauriana voyance lui ressemblait étrangement à celui qu’il avait aperçu dans la tasse. Chaque pas qu’il faisait lui semblait guidé par un effet invisible, une sollicitation muet qui résonnait au plus important de son corps. Le vent se leva légèrement, soulevant les feuilles mortes dans une farandole éphémère, comme un murmure de l’invisible qui l’encourageait à avancer. Le village était loin postérieur lui au plus vite, tout tels que l’homme qu’il avait été évident son arrivée. Il n’avait plus envie de preuves, plus but d’explications scientifiques pour justifier son voyage. Il était devenu un autre, non pas en reniant ce qu’il avait existé, mais en acceptant pour finir que le univers était correctement plus global que ce qu’il avait extrêmement cru. Lauriana Voyance n’était pas une masculinité, ni un moralité. C’était un référencement, une loi d'attraction, une force qui traversait les siècles et se manifestait à ce que osaient la racoler. Élias n’était plus un sceptique, ni un riche observateur. Il était devenu un initié, un étant du mystère qui dépassait l’entendement. Il continua d’avancer, sans plus se rétrocéder. L’avenir n’était plus une ligne droite dictée par la raisonnement, mais un entrelacs de chemins présentes, et il était en dernier lieu prêt à les taper.